- EAN13
- 9782717729504
- ISBN
- 978-2-7177-2950-4
- Éditeur
- BnF Éditions
- Date de publication
- 23/11/2023
- Collection
- Beaux livres (1)
- Dimensions
- 24,3 x 18,3 x 1 cm
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Ce matin, je pensais...
De Sandol Stoddard
Illustrations de Yvan Chermayeff
BnF Éditions
Beaux livres
Offres
-
16.00
Un album à lire tout haut avec les petits, pour s'amuser et pour penser !Porté par des illustrations pleines de fantaisie, aux couleurs éclatantes, le livre raconte le rituel du lever et les préparatifs du matin d'un petit garçon pas pressé et perdu dans ses pensées. Les rêveries de l'enfance ou une jolie manière de commencer la journée.
Le jour se lève, la journée commence. Alors qu'on l'exhorte à se presser (" va vite te laver les mains ", " enfile ta chemise "...), un enfant se laisse entraîner très loin par une cascade de pensées.
Le monde intérieur de ses rêveries s'ouvre alors à nous, porté par des illustrations empreintes de fantaisie et de fraîcheur. De cette boîte à trésor s'échappent un cerf-volant qui file, des patins à roulettes, une otarie qui jongle, une tortue à moitié endormie, un camion de pompier..., invitant le lecteur à une immersion dans les rêveries enfantines.
Le texte, empli de poésie, résonne comme une comptine, dont le rythme va crescendo jusqu'au débordement d'amour : " Je pensais à combien je t'aime ", qui éclipse cet aveu d'échec : " C'est pour ça que je n'ai pas pu mettre mes chaussettes... "
Mis en images par le designer Ivan Chermayeff, qui multiplie les trouvailles graphiques dans une palette restreinte aux trois couleurs primaires, cet album de Sandol Stoddard, édité pour la première fois en français, nous livre un récit intime à la portée universelle.
Le jour se lève, la journée commence. Alors qu'on l'exhorte à se presser (" va vite te laver les mains ", " enfile ta chemise "...), un enfant se laisse entraîner très loin par une cascade de pensées.
Le monde intérieur de ses rêveries s'ouvre alors à nous, porté par des illustrations empreintes de fantaisie et de fraîcheur. De cette boîte à trésor s'échappent un cerf-volant qui file, des patins à roulettes, une otarie qui jongle, une tortue à moitié endormie, un camion de pompier..., invitant le lecteur à une immersion dans les rêveries enfantines.
Le texte, empli de poésie, résonne comme une comptine, dont le rythme va crescendo jusqu'au débordement d'amour : " Je pensais à combien je t'aime ", qui éclipse cet aveu d'échec : " C'est pour ça que je n'ai pas pu mettre mes chaussettes... "
Mis en images par le designer Ivan Chermayeff, qui multiplie les trouvailles graphiques dans une palette restreinte aux trois couleurs primaires, cet album de Sandol Stoddard, édité pour la première fois en français, nous livre un récit intime à la portée universelle.
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