- EAN13
- 9782754809412
- Éditeur
- Futuropolis
- Date de publication
- 21/09/2022
- Collection
- Albums Futuropolis
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Futuropolis 26,00
Pour la mer — afin de la comprendre et de savoir la dessiner —, pour les
Terres australes — qui sont comme la promesse d’un temps qui n’est plus —, en
mars et avril 2010, pendant plusieurs semaines, Emmanuel Lepage a embarqué sur
le Marion Dufresne, au départ de Saint-Denis de La Réunion, pour faire le
voyage dans les T. A. A. F., les Terres Australes et Antarctiques Françaises.
Les Terres australes : îles de Crozet, d’Amsterdam, de Saint-Paul et, la plus
connue, de Kerguelen, jadis surnommées les îles de la Désolation. Des
confettis d’empire, égarés dans l’immensité bleue à des milliers de kilomètres
de toute terre habitée. Îles inconnues, sauvages, inhospitalières,
mystérieuses. Battues par des vents violents, elles ne comptent d’humains que
les scientifiques, de toutes disciplines, venus le temps de missions pouvant
durer plusieurs mois, et les quelques militaires et contractuels chargés de
faire fonctionner leurs bases d’habitation et de travail. Emmanuel Lepage, le
Breton, en toute contradiction, n’avait jamais pris la mer. Il a été servi !
Cap au Sud !
Terres australes — qui sont comme la promesse d’un temps qui n’est plus —, en
mars et avril 2010, pendant plusieurs semaines, Emmanuel Lepage a embarqué sur
le Marion Dufresne, au départ de Saint-Denis de La Réunion, pour faire le
voyage dans les T. A. A. F., les Terres Australes et Antarctiques Françaises.
Les Terres australes : îles de Crozet, d’Amsterdam, de Saint-Paul et, la plus
connue, de Kerguelen, jadis surnommées les îles de la Désolation. Des
confettis d’empire, égarés dans l’immensité bleue à des milliers de kilomètres
de toute terre habitée. Îles inconnues, sauvages, inhospitalières,
mystérieuses. Battues par des vents violents, elles ne comptent d’humains que
les scientifiques, de toutes disciplines, venus le temps de missions pouvant
durer plusieurs mois, et les quelques militaires et contractuels chargés de
faire fonctionner leurs bases d’habitation et de travail. Emmanuel Lepage, le
Breton, en toute contradiction, n’avait jamais pris la mer. Il a été servi !
Cap au Sud !
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